GSM - Utilisation dans les trains - Problèmes non résolus
Société nationale des chemins de fer belges
téléphone mobile
télécommunication sans fil
matériel de télécommunication
communication mobile
9/6/2009 | Envoi question (Fin du délai de réponse: 9/7/2009) |
3/11/2009 | Réponse |
Aussi posée à : question écrite 4-3529
Requalification de : demande d'explications 4-918
Voici près de cinq ans, la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) a signé une convention avec plusieurs opérateurs télécom. Cette convention prévoit d'installer davantage d'antennes gsm le long des voies ferrées afin d'obtenir des appels de meilleurs qualité dans les trains. À cause de l'effet magnéto-optique, également appelé effet Faraday, les appels gsm passent plus faiblement dans les trains. L'installation d'antennes gsm supplémentaires devrait résoudre en partie ce problème. La SNCB placerait 450 antennes dont 120 seraient également utilisées par les opérateurs télécom. Les 330 autres seraient réservées à la SNCB, notamment pour le réseau de communication GSM for Railways, un réseau radio numérique permettant d'envoyer des données et de dialoguer.
Cependant, les appels gsm sont encore interrompus par moments durant les trajets en train.
C'est pourquoi je souhaite poser les questions suivantes au ministre :
1. Toutes les antennes gsm promises ont-elles effectivement été installées ? Sur quelles lignes ? Sur quelle lignes doit-on encore en placer ?
2. Comment le ministre explique-t-il que des appels gsm soient encore interrompus dans les trains ? Cela signifie-t-il que le nombre d'antennes gsm installées le long des lignes est insuffisant ?
3. Existe-t-il d'autres possibilités techniques pour améliorer la qualité des appels gsm dans les trains ? Dans l'affirmative, lesquelles ? La SNCB a-t-elle déjà étudié ces options avec les opérateurs télécom ?
4. La SNCB a évalué à 130 millions l'opération visant à installer les antennes gsm et à mettre sur pied le réseau de communication. Ce réseau est-il aujourd'hui entièrement actif ? Que doit-on encore réaliser ?
5. Combien ces travaux ont-ils réellement coûté ?
1. Je me réfère à la réponse du vice-premier ministre et ministre de la Fonction publique, des Entreprises publiques et des Réformes institutionnelles, à qui la même question a été posée.