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Sénat de Belgique

Annales

JEUDI 31 JANVIER 2008 - SÉANCE DE L'APRÈS-MIDI

(Suite)

Proposition de résolution concernant l'introduction du Cambodge dans la liste des pays partenaires de la coopération au développement (de M. François Roelants du Vivier, Doc. 4-66)

Discussion

(Pour le texte adopté par la commission des Relations extérieures et de la Défense, voir document 4-66/4.)

M. Georges Dallemagne (cdH), rapporteur. - La résolution à l'examen, déposée par M. Roelants du Vivier le 12 juillet dernier, a été débattue en commission en octobre.

Nous avons auditionné une série de responsables de la Coopération au Développement et entendu en commission l'avis du ministre de la Coopération au Développement, le 8 janvier dernier.

De l'avis unanime des membres qui ont participé à la discussion, cette résolution vise à corriger une décision quelque peu soudaine, d'ailleurs restée à ce jour sans explication, d'interruption brutale de nos projets bilatéraux avec le Cambodge alors qu'ils étaient en pleine phase de démarrage.

À l'unanimité, la commission a souhaité qu'un dispositif permette la poursuite des projets en cours au Cambodge. Certains de ces projets, à l'époque où vous étiez ministre de la Coopération au Développement, monsieur le président, avaient d'ailleurs déjà obtenu une suite puisque le projet « éducation » avait déjà trouvé un financement.

La résolution va cependant un peu plus loin puisqu'elle demande également que l'on envisage la réintroduction du Cambodge dans les pays de concentration. Elle souhaite - comme les membres de la commission - que cette décision tienne compte de différents éléments : les critères de la loi de 1999, la nécessaire continuité - un terme qui est revenu régulièrement dans nos discussions -, la nécessaire concentration des pays partenaires de la coopération au développement, un volume minimum d'activités et une présence équilibrée sur différents continents. C'est un des amendements qui a été déposé et voté par les membres de la commission.

Un autre élément qui a été souligné porte sur une nécessaire stratégie de sortie. C'est aussi ce qui a manqué non seulement au Cambodge, mais également dans d'autres pays de coopération qui ont été retirés de la liste des pays de concentration de la Belgique.

Nous avons organisé une série de débats à propos de la concentration, la majorité des membres de la commission souhaitant que le nombre de pays concernés par notre coopération bilatérale ne dépasse pas dix-huit, certains estimant cette décision quelque peu prématurée dans la mesure où une discussion de fond devait encore avoir lieu à ce sujet.

Plusieurs amendements ont été déposés demandant de ne pas lier la reprise de la coopération au Cambodge à une exclusion du Vietnam.

Il est donc demandé au gouvernement, à travers cette résolution que nous vous demandons d'approuver, de poursuivre les projets au Cambodge, de poursuivre, à travers la Mekong River Commission, des projets à dimension multilatérale en faveur du Laos, du Cambodge et du Vietnam, de préparer une révision de la liste des pays partenaires sur la base des éléments que je viens d'énumérer, en la limitant à dix-huit, en étudiant la possibilité d'y réintroduire le Cambodge et de prévoir un cadre de coopération approfondi avec le Laos.

J'ajouterai à titre personnel que le gouvernement a déjà en partie exaucé nos voeux puisque le gouvernement cambodgien vient de recevoir une lettre du ministre de la Coopération au Développement lui faisant part de sa volonté de financer la suite du projet « santé » à hauteur de 3 millions.

C'est une demi bonne nouvelle puisque les besoins de financement pour ce projet « santé » sont en fait de 5,8 millions d'euros et qu'il est demandé au gouvernement cambodgien de trouver par ailleurs un cofinancement à ce projet.

D'une manière générale, les cofinancements entre différents donateurs peuvent être un bonne chose. Il se pose évidemment ici un problème de calendrier puisque les besoins de financement sont immédiats.

Sans financement, les projets de coopération en matière de santé s'arrêteront à partir du mois de juin et il importe donc de ne pas trop compliquer les dispositifs de financement et de faire en sorte qu'il y ait une continuité dans l'exécution des projets au Cambodge.

Je sais que le gouvernement cambodgien réfléchit déjà à la manière dont il pourra trouver des solutions à ce financement partiel mais la situation n'est pas vraiment facile pour lui. En effet, il doit trouver rapidement ces solutions. Nous aurons certainement l'occasion d'interroger à nouveau le ministre.

À cause de mes attaches avec ce pays et pour d'autres raisons évoquées dans le rapport, je souhaite que l'on étudie très attentivement la réintroduction du Cambodge dans la liste des pays de concentration. Je me réjouis que cette réflexion générale relative à nos pays partenaires puisse avoir lieu au cours des prochains mois. Il est important que nous continuions à être présents dans cette partie du monde, au Laos par exemple, à travers des actions de coopération très appréciées.

Mevrouw Margriet Hermans (Open Vld). - Ik wil de heer Roelants du Vivier feliciteren, want hij heeft met deze resolutie een belangrijke problematiek op de agenda van de Senaat gezet.

Mijn interventie gelijkt nogal op het verslag van de rapporteur, aangezien de commissieleden eensgezind waren over dit voorstel van resolutie. De resolutie gaat niet alleen over het opnemen van Cambodja in de lijst van partnerlanden inzake ontwikkelingssamenwerking, maar opent meteen het hele debat over een belangrijk element van de ontwikkelingssamenwerking, namelijk de geografische concentratie.

Wellicht zal niemand in deze zaal betwisten dat Cambodja in aanmerking komt om opnieuw op de lijst van partnerlanden te worden geplaatst. De criteria waaraan een partnerland volgens onze wetgeving moet beantwoorden, zijn vervuld. Er is een lange geschiedenis van samenwerking met Cambodja; er valt nog heel wat te doen om de armoede te bestrijden en het land komt er langzaam bovenop na de vreselijke periode onder Pol Pot en zijn opvolgers.

We staan dus alvast achter de eerste grote vraag die in de resolutie aan de regering wordt gesteld: zorg dat de lopende samenwerking met Cambodja wordt uitgevoerd zoals gepland, werk verder via de Mekong River Commission, waarvan de hele regio profiteert, en onderzoek of Cambodja niet opnieuw aan de lijst van partnerlanden toegevoegd kan worden.

Maar zoals gezegd, kunnen we de kwestie Cambodja niet zomaar bekijken los van de vraag over de concentratie van onze ontwikkelingssamenwerking. Voor ons is het concentreren van de beschikbare middelen heel belangrijk. Dat houdt verband met iets dat hoog op de agenda staat, namelijk de impact van de ontwikkelingssamenwerking. Meer en meer wordt duidelijk dat we pas echt iets kunnen veranderen op het terrein als we met het partnerland samen de prioriteiten kunnen bepalen en onze stem daarbij luid genoeg klinkt. Dat kan alleen als we een donor zijn van een zeker gewicht. Het laatste wat Open Vld wil is dat de stijging van de middelen voor ontwikkelingssamenwerking teniet gedaan wordt door een grotere versnippering van die middelen. Tegen 2010 moeten we 0,7% van het bbp uitgeven aan ontwikkeling en de jongste weken is gebleken dat dit een moeilijke oefening zal worden. Laten we ervoor zorgen dat we de groei van het budget niet neutraliseren door het over meer landen uit te spreiden.

Tijdens de hoorzitting over de resolutie heb ik enkele frappante cijfers gehoord. In 12 van onze 18 partnerlanden staat België in voor minder dan 2% van de totale hulp. In de 15 partnerlanden die niet in Centraal-Afrika liggen, geven we gemiddeld 3 miljoen euro per jaar uit. Dat overstijgt amper het budget van een stevige ngo. We moeten er dringend over nadenken om onze impact te vergroten.

Uit het verhaal van onze samenwerking met Cambodja hebben we nog andere lessen getrokken. Er is dringend nood aan een mechanisme om een zachte landing te maken in de landen waarmee we onze bilaterale samenwerking stopzetten. In het geval van Cambodja is daar te weinig aandacht voor geweest. In feite kunnen de Cambodjanen ons verwijten dat we niet consequent zijn: van onze partnerlanden verwachten we langetermijndenken, maar we passen dat zelf niet toe.

Ik ben blij dat de uiteindelijke resolutie, mede door de inspanningen van de heer Roelants du Vivier en van andere collega's, de problematiek opentrekt.

We hebben duidelijk gemaakt dat de uitbreiding van het aantal partnerlanden zeker niet de bedoeling is. Wat ons betreft, zal er eerder een verdere inkrimping moeten komen. We vragen ook dat de regering vóór een eventuele wijziging van de lijst van partnerlanden een beleidsvisie ontwikkelt over de verdere concentratie van onze bilaterale ontwikkelingssamenwerking, onze evenwichtige aanwezigheid in de verschillende continenten, het budget, de criteria en een eventuele exit strategie.

De Open Vld-fractie zal deze resolutie steunen en zal zich sterk engageren in het debat over de concentratie van onze ontwikkelingssamenwerking dat in de Senaat is gepland.

M. François Roelants du Vivier (MR). - Je souhaite d'abord remercier l'ensemble des collègues qui ont approuvé en l'amendant ma proposition de résolution visant à introduire le Cambodge dans la liste des pays partenaires.

Je voudrais remercier singulièrement M. Dallemagne, notre rapporteur, qui est un connaisseur du Cambodge. Hier encore je regardais une photo publiée dans Paris-Match, il y a deux ans, où il figure posant sa main paternelle sur le front d'une patiente cambodgienne. Je me rappelle combien il a été actif dans le domaine de la santé dans ce pays.

Le débat sur cette proposition de résolution - M. Dallemagne l'a bien souligné - porte sur la question du choix de ces pays de concentration. Il s'agit d'un débat important. Notre politique de coopération s'inscrit dans un cadre précis : la loi du 25 mai 1999 qui contient deux grandes dispositions, d'une part une liste de critères qui déterminent le type de pays avec lesquels nous allons coopérer, d'autre part un nombre maximum de pays que la loi fixait en 1999 à vingt-cinq et qui fut réduit en 2003 à dix-huit. En outre, les moyens financiers affectés à cette coopération sont déterminés par un objectif fixé par le gouvernement, c'est-à-dire de faire en sorte que soit affecté à la coopération l'équivalent de 0,7% de notre PIB.

Notre assemblée s'est emparée de la première partie de la question : avec quels pays voulons-nous coopérer ? C'est dans cet esprit que les membres de la commission ont ouvert sereinement le débat en dépassant les intérêts partisans. Ce débat devait nous amener à formuler au ministre de la Coopération des propositions pour alimenter sa réflexion, pour influencer ses choix. Le fil conducteur de ces travaux est bien entendu la recherche de l'efficacité mais aussi de la cohérence. En effet, le début de nos auditions nous a permis de bien comprendre une lacune fondamentale de notre système, qui fut d'ailleurs soulignée il y a un instant par M. Dallemagne, à savoir qu'il n'existe pas de mécanisme qui encadre la fin de notre coopération avec un pays.

Le Cambodge se trouvait dans la liste des vingt-cinq pays partenaires de 1999 et en a été retiré en 2003. Dès lors les programmes de la coopération belge avec ce pays se sont interrompus de façon abrupte. Grâce à la vigilance du ministre de la Coopération du précédent gouvernement, notre actuel président, des mesures ont pu être prises de manière à pouvoir poursuivre au Cambodge des programmes d'éducation et de santé. Je me réjouis de cette décision, mais il s'agit de mesures ad hoc. Il faut maintenant élaborer un vrai mécanisme permettant que le travail effectué depuis de nombreuses années par du personnel compétent et avec l'argent du contribuable soit mené à son terme. Notre action dans ces pays doit leur permettre d'évoluer positivement.

Il faut le dire clairement : notre action coordonnée à celle d'autres États et des organisations internationales doit in fine aboutir à ce que ces pays sortent de notre liste des États avec lesquels nous avons une coopération. C'est le but ultime. C'est déjà le cas de certains pays qui sont sur la liste actuelle des dix-huit pays comme l'Algérie, l'Afrique du Sud et le Vietnam.

Il faut se poser la question de savoir pour chacun de ces pays si leur situation s'est structurellement améliorée et quel est le calendrier de nos actions menées dans ces pays et qui doivent être absolument menées à terme.

Notre assemblée a pour vocation d'être une chambre de réflexion. Je pense que dans les semaines qui viennent, nous devons arriver à étudier de façon approfondie un certain nombre de ces pays dont la situation se serait statistiquement améliorée, évaluer la pertinence de les conserver dans le cadre de notre aide bilatérale, veiller impérativement à ce qu'une stratégie de sortie soit mise en oeuvre et évaluer les besoins et intérêts d'autres pays qui ont peut-être fait l'objet, comme le Cambodge, d'une suppression sèche en 2003.

Rappelons que, dans 12 des 18 pays partenaires, notre aide bilatérale ne s'élève qu'à 2% de l'aide totale fournie à ceux-ci.

Enfin, concentrons nos moyens financiers en augmentation sur un plus petit nombre de pays, augmentons notre aide bilatérale directe et établissons cette nouvelle liste de pays partenaires dans la durée avec un horizon de 10 à 15 ans.

Nous devrons mener ce débat en bonne intelligence, à la suite de ceux qui ont été initiés à la Chambre par notre commission éponyme et qui se consacrent aux critères qui encadrent le choix des pays partenaires.

Dans quelques mois, lorsque cette double démarche aura été menée à bien, nous pourrons alors remettre au ministre de la Coopération au développement un rapport sérieux qui lui permettra de faire des choix en connaissance de cause.

M. Philippe Mahoux (PS). - Il est évidemment incohérent au décours immédiat d'une commission mixte qui met en place des projets qui ont trait à la santé et à l'éducation de supprimer le pays concerné par cette commission mixte et par ses accords des 18 pays éligibles. Je signale d'ailleurs à M. Roelants du Vivier que son prédécesseur avait fait ce genre de proposition.

En outre, je ne peux pas marquer mon accord avec la proposition initiale. Nous l'avons d'ailleurs amendée. Elle consistait de manière tout aussi arbitraire à réintroduire le Cambodge après avoir supprimé le Vietnam. Cette façon de procéder, sans concertation, est peu cohérente.

Ensuite, par rapport au Cambodge, il faut trouver une formule qui permet d'arriver au bout des projets en matière de santé et d'éducation. Je pense que nous sommes engagés dans cette voie et que nous devons intensifier notre action dans ce sens.

Il me paraît aussi important de mener une réflexion globale, en y associant le parlement, sur le nombre de pays éligibles. Notre résolution prévoit que le nombre de pays ne peut être supérieur à 18, et je pense que c'est très raisonnable.

Enfin, il convient de fixer des paramètres qui permettent d'être présent dans l'ensemble des continents et d'établir des critères tenant compte des situations des populations sur le terrain plutôt que de la volonté de prépondérance des relations extérieures ou du commerce extérieur.

Mevrouw Sabine de Bethune (CD&V-N-VA). - De CD&V-fractie zal de resolutie goedkeuren. Het is goed dat we de discussie over de selectie van de partnerlanden hebben geopend bij het begin van deze zittingsperiode. Ook mijn fractie maakt zich grote zorgen over de abrupte wijze waarop het vorige parlement de samenwerking met Cambodja en Laos heeft beëindigd, nog vóór de consolidatiefase was ingezet. Wij vonden dat geen goede aanpak.

Wij wensen in de eerste plaats dat de consolidatie van ons werk in Cambodja wordt gewaarborgd. Ik hoop dat na dit debat de minister zich ertoe zal verbinden de modelprojecten die in Cambodja zijn ingezet, te consolideren, eventueel met het oog op uitfasering.

Ik betreur wel dat te exclusief de nadruk wordt gelegd op Cambodja en dat dezelfde logica, ook in het plenaire debat, niet wordt doorgetrokken naar Laos. Ook in Laos loopt een modelproject waarvoor de consolidatiefase dient te worden gegarandeerd.

Ik vraag alleen behoorlijk bestuur. Ik vraag dat de minister ervoor zorgt dat onze modelprojecten in Cambodja en in Laos niet verloren gaan.

Mijn tweede punt handelt over de selectie van de partnerlanden. CD&V is bereid te discussiëren over de wederopname van Cambodja en Laos in de lijst van partnerlanden. Deze resolutie betekent echter niet dat we onvoorwaardelijk voor zijn. Wij wensen het debat te kaderen in een visie over de manier waarop de partnerlanden moeten worden geselecteerd.

Wij wensen hierbij een aantal parameters te hanteren. Wij zijn voorstander van een verdere concentratie van onze bilaterale samenwerking, in het bijzonder in Centraal-Afrika. Een evenwichtige geografische spreiding van de bilaterale samenwerking blijft belangrijk. Wij wensen zicht te krijgen op de evolutie van onze bilaterale samenwerking met Azië. Wij vinden het ook belangrijk dat de middelen voor de bilaterale ontwikkelingssamenwerking toenemen. Wat de selectie van de partnerlanden betreft, moeten duidelijke criteria worden geformuleerd. Er moet een code komen voor de samenwerking met een garantie van continuïteit en stabiliteit in de partnerrelaties. In dat opzicht werd meermaals gewezen op de beleidscultuur van de Scandinavische landen.

Wij zijn klaar om een beleidsdebat te voeren, liefst in de Senaatscommissie voor de Buitenlandse Betrekkingen en voor de Landsverdediging.

Ik dank, tot slot, de heer Roelants du Vivier en de andere collega's die het debat op gang hebben gebracht.

M. le président. - Je voudrais à mon tour me féliciter de l'adoption de cette résolution.

Le Cambodge est, comme vous l'avez indiqué, un pays qui avait été retiré de la liste des pays partenaires quelques mois avant que je prenne mes fonctions dans ce département. Il m'était dès lors impossible de rétablir immédiatement la décision prise par un gouvernement qui, à mon exception près, était d'ailleurs le même.

Le Cambodge, comme le Rwanda, est probablement un des pays qui a le plus souffert dans l'histoire du monde au cours du vingtième siècle. C'est un élément que nous devons absolument garder à l'esprit.

Nous y avons réalisé de très belles choses, surtout dans le domaine de l'enseignement - le dernier programme a amené la construction de huit cents classes d'école au Cambodge - et dans le domaine de la santé. Pour compenser le fait que le pays était sorti de la liste des partenaires, j'avais initié une politique régionale en associant la Belgique au financement de la Mekong River Commission qui traverse tous les pays de la région.

Je partage également le point de vue de Mme de Bethune, à savoir qu'il faut objectiver le dossier avant de prendre une attitude. Nous devrons nous poser des questions quant à la part que la Belgique prend dans l'effort de développement et à l'évolution de chacun des pays que nous aidons. Des pays qui connaissent des croissances de 8 ou 10 pour-cent par an ne doivent pas éternellement figurer dans la liste de nos pays partenaires. De la même manière, devons-nous encore être des acteurs de développement dans des pays qui veulent être nos partenaires de développement dans des pays tiers ?

Tous ces éléments méritent une réflexion approfondie, mais je me réjouis vraiment de l'adoption de cette résolution.

-La discussion est close.

-Il sera procédé ultérieurement au vote sur l'ensemble de la proposition de résolution.