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Question écrite n° 5-441

de Bart Laeremans (Vlaams Belang) du 26 novembre 2010

à la ministre de la Fonction publique et des Entreprises publiques

Services publics - Dépenses publicitaires - Montants

service public
dépense publique
publicité
politique de la communication
presse

Chronologie

26/11/2010Envoi question
6/7/2011Réponse

Aussi posée à : question écrite 5-429
Aussi posée à : question écrite 5-430
Aussi posée à : question écrite 5-431
Aussi posée à : question écrite 5-432
Aussi posée à : question écrite 5-433
Aussi posée à : question écrite 5-434
Aussi posée à : question écrite 5-435
Aussi posée à : question écrite 5-436
Aussi posée à : question écrite 5-437
Aussi posée à : question écrite 5-438
Aussi posée à : question écrite 5-439
Aussi posée à : question écrite 5-440
Aussi posée à : question écrite 5-442
Aussi posée à : question écrite 5-443
Aussi posée à : question écrite 5-444
Aussi posée à : question écrite 5-445
Aussi posée à : question écrite 5-446
Aussi posée à : question écrite 5-447
Aussi posée à : question écrite 5-448
Aussi posée à : question écrite 5-449
Aussi posée à : question écrite 5-450

Question n° 5-441 du 26 novembre 2010 : (Question posée en néerlandais)

Nous avons appris récemment que les diverses autorités de ce pays menaient, par le biais du placement d'annonces, une politique axée sur le soutien des médias imprimés.

Pour avoir un aperçu des dépenses publicitaires de vos services, j'aimerais obtenir un relevé, par département dont la responsabilité vous incombe, des montants consacrés aux dépenses publicitaires, respectivement pour 2006, 2007, 2008, 2009 et 2010, dans :

1) Les quotidiens néerlandophones;

2) Les médias imprimés néerlandophones, autres que les quotidiens;

3) Les quotidiens francophones;

4) Les médias imprimés francophones, autres que les quotidiens.

Peut-on chaque fois ventiler les montants payés pour des messages d'intérêt général, d'une part, et pour des offres d'emploi, d'autre part ?

Réponse reçue le 6 juillet 2011 :

J’ai l’honneur de communiquer à l’honorable membre les informations demandées.

Seul le Selor utilise un budget communication tel qu’envisagé dans la question et ceci de la manière suivante:

Une partie du budget est destiné à la communication directe de recrutement. Dans ce contexte Selor met en œuvre un médiamix standard. Ce mix a beaucoup changé au cours des années (2006 à 2010) tout comme le paysage des médias. A partir de 2010, l’annoncer dans le média imprimé, n’est plus repris dans le médiamix standard (le médiamix standard est composé de: Moniteur belge, site de Selor, liste mailing, offres d’emplois sur sites emplois publics et/ou commerciaux).

S’il y a des indications que ce mix standard n’est pas suffisant, par exemple pour des groupes cible spécifique ou pour des métiers en pénurie, des canaux de communication de recrutement supplémentaires sont utilisés. Dans ce cas, une annonce imprimée dans le média constitue l’une des options.

Outre la communication de recrutement directe, Selor investit également dans la communication pour renforcer son positionnement sur le marché de l’emploi. Cette communication vise à promouvoir le pouvoirs publics comme un employeur attrayant et à positionner Selor comme le bureau de sélection pour des fonctions des administrations publiques.

Dans ce contexte Selor participe aussi à des bourses d’emploi, ce qui est parfois liée à une annonce imprimée dans un média de recrutement).

Ces deux manières de communiquer sont suivies et mesurées. Si nécessaire, des adaptations sont réalisées.

Pour la distribution néerlandophone/francophone Selor aspire à une distribution équilibrée. Il y a des facteurs qui le peuvent influencer, comme les urgences de recrutement et les plans de personnel qui peuvent différer à la côté néerlandophone et francophone (aussi en ce qui concerne le recrutement des professions de problème), et la situation sur le marché d’emploi. Pour le moment, Selor investit plus du côté néerlandophone, vu la popularité inférieure par rapport au francophone. Il s’agit principalement de magazines et pas de journaux.

Un pourcentage limité du budget de la communication est dépensé en média imprimé. A partir de 2008, nous constatons une diminution de la partie imprimée en faveur des possibilités en ligne et d’autres canaux non orientés imprimés, ceci suite à la diversification accrue du paysage des médias, des tendances et habitudes du groupe cible et des objectifs que Selor se fixe.

Selor choisit une annonce dans la presse régionale (hebdomadaires) ou dans la presse spécialisée (groupes cibles spécifiques), les journaux de recrutement (Vacature, Jobat, Références) et Metro comme quotidien.

L’accent est donc sur des « non quotidiens ». Metro est le seul quotidien au sens étroit du terme.

2006: 1/2 d’un budget de 2 millions d’euros, pour l’ imprimé

2007: 1/2 d’un budget de 1.8 millions d’euros, pour l’ imprimé

2008: 1/3 d’un budget de 1.1 millions d’euros, pour l’ imprimé

2009: 1/4 d’un budget de 2.1 millions d’euros, pour l’ imprimé

2010: 1/4 d’un budget de 1.1 millions d’euros, pour l’ imprimé

Pour info: Pour 2011, le budget est réduit à 1/5 du budget de communication total.