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Question écrite n° 5-3974

de Guido De Padt (Open Vld) du 23 décembre 2011

à la vice-première ministre et ministre de l'Intérieur

Transports en commun - Lignes à problèmes - Recours à des agents de sécurité supplémentaires - Recours à des policiers

métro
transport urbain
Société nationale des chemins de fer belges
statistique officielle
police
sécurité et gardiennage
sécurité publique
délinquance

Chronologie

23/12/2011Envoi question
31/7/2012Réponse

Réintroduction de : question écrite 5-863

Question n° 5-3974 du 23 décembre 2011 : (Question posée en néerlandais)

Une pierre ayant été lancée à travers le pare-brise d'une rame de métro, la Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB) a décidé, en janvier 2011, de faire appel à deux équipes de contrôle supplémentaires pendant deux semaines. De plus, cinq équipes d'intervention de la société de transport ont également été mises à pied d'œuvre après 16 heures.

Sur les « lignes à problèmes », ces équipes de contrôle supplémentaires ont été assistées par quatre agents de la police fédérale le matin, huit l'après-midi, voire jusqu'à dix le soir.

Dans ce contexte, je souhaiterais obtenir une réponse aux questions suivantes.

1) Quelles sont, dans notre pays, les lignes de chemin de fer et de métro qui sont considérées comme des « lignes à problèmes » et en vertu de quels paramètres et données (chiffres relatifs aux années 2007 à 2010) ont-elles reçu cette qualification ?

2) À combien d'agents de sécurité supplémentaires a-t-on fait appel en 2007, 2008, 2009 et 2010 dans les trains et métros de ces « lignes à problèmes » ? Quel surcoût cela-t-il entraîné pour les exploitants du rail et du métro ?

3) Combien d'interventions de la police fédérale, de la police locale, de Sécurail et du service de sécurité de la STIB a-t-on enregistrées dans les trains et/ou métros en 2007, 2008, 2009 et 2010 ? Quel était le motif de ces interventions ?

Réponse reçue le 31 juillet 2012 :

Ces questions relèvent de la compétence de mon collègue des Entreprises publiques (pour ce qui concerne la SNCB) et du ministre régional de la Mobilité (pour ce qui concerne le métro de la STIB).