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Question écrite n° 5-3362

de Inge Faes (N-VA) du 18 novembre 2011

au ministre de la Justice

Affaires pénales - Experts - Expertises - Types - Chiffres

enquête judiciaire
instruction judiciaire
statistique officielle

Chronologie

18/11/2011Envoi question
7/12/2011Dossier clôturé

Réintroduite comme : question écrite 5-4095

Question n° 5-3362 du 18 novembre 2011 : (Question posée en néerlandais)

L'importance des expertises en matière répressive devrait encore croître ces prochaines années.

En vue de cerner la situation présente des experts en matière répressive, je souhaiterais une réponse aux questions suivantes :

1) Combien d'experts désigne-t-on chaque année dans des affaires pénales ?

Si elle est possible, je souhaiterais la ventilation :

A. Par tribunal (de police, correctionnel)

B. Par sujet (roulage, coups et blessures, escroquerie,...)

C. Par arrondissement

D. Depuis 2008

Si ces chiffres ne sont pas disponibles, pouvez-vous les faire établir pour les deux arrondissements judiciaires d'Anvers et de Liège ?

2) Dans les catégories susmentionnées, quel type d'expertise recherche-t-on? S'agit-il de médecine légale, de médecine vétérinaire, de psychiatrie, de chimie, de dentisterie, de roulage, de balistique, de comptabilité, de graphologie, d'incendie ou d'autres ?

3) Dispose-t-on d'un aperçu des experts «personnes physiques », comparés aux laboratoires, à l'Institut national de criminalistique et de criminologie (INCC) etc ? En d'autres termes, je souhaiterais savoir quels pourcentages les personnes, les laboratoires, l'INCC,...représentent dans le total des désignations.