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Société nationale des chemins de fer belges
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7/2/2014 | Envoi question |
28/4/2014 | Fin de la législature |
En prolongement de ma question écrite 5-8123, je souhaiterais obtenir des informations actualisées sur le sujet.
1) Comment le ministre évalue-t-il le fonctionnement, depuis leur lancement, du site mobile m.sncb.com et des applications pour iPhone, Android et Windows Phone ? Dispose-t-il de chiffres sur le nombre d'utilisateurs et de téléchargements de ces applications et peut-il les communiquer ?
2) Combien a coûté le développement de m.sncb.be et des applications associées ? Selon le ministre, ce coût est-il proportionné aux utilisations ?
3) En réponse à ma question écrite 5-8123, le ministre indiquait que seuls les trajets directs étaient disponibles, mais que dans le futur, il serait aussi possible de se procurer des tickets pour des voyages avec des correspondances. Cette opération est-elle à présent possible ? Si oui, comment est-elle évaluée ?
4) Au moment de la réponse à la question écrite 5-8123, l'expérience des applications mobiles était encore trop récente pour qu’elle ait déjà un impact sur les coûts de distribution ou autres. Le ministre peut-il maintenant dire s'il est partisan d'un ticket dématérialisé, suivant les critères de la simplification, du service à la clientèle, de l'environnement et des frais administratifs ? Dispose-t-il de données relatives aux économies potentielles et si oui, peut-il les communiquer ?
5) En réponse à la question écrite 5-8123, le ministre signalait que, selon la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB), le consommateur en trafic intérieur éprouvait une certaine réticence à franchir le pas pour ce qui est de l'achat de produits via un appareil mobile ; la SNCB s'attendait toutefois à une augmentation sensible de ce nombre après le lancement des billets sms dans les applications iPhone (et autres), dont la portée est étendue. Peut-on le confirmer ? Si oui, le ministre dispose-t-il de chiffres illustrant l'essor des applications mobiles et peut-il les communiquer ?
6) Le ministre peut-il encore indiquer d'autres évolutions ou développements dans ce contexte ?