| SÉNAT DE BELGIQUE | BELGISCHE SENAAT | ||||||||
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| Session 2011-2012 | Zitting 2011-2012 | ||||||||
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| 23 décembre 2011 | 23 december 2011 | ||||||||
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| Question écrite n° 5-4828 | Schriftelijke vraag nr. 5-4828 | ||||||||
de Bert Anciaux (sp.a) |
van Bert Anciaux (sp.a) |
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à la vice-première ministre et ministre de l'Intérieur |
aan de vice-eersteminister en minister van Binnenlandse Zaken |
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| Lesbigays - Plaintes pour agression - Méfiance à l'égard de la police locale - Politique | Holebi's - Klachten over agressie - Wantrouwen tegenover de lokale politie - Beleid | ||||||||
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| minorité sexuelle discrimination fondée sur l'orientation sexuelle police locale |
seksuele minderheid discriminatie op grond van seksuele geaardheid gemeentepolitie |
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| Réintroduction de : question écrite 5-3090 | Réintroduction de : question écrite 5-3090 | ||||||||
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| Question n° 5-4828 du 23 décembre 2011 : (Question posée en néerlandais) | Vraag nr. 5-4828 d.d. 23 december 2011 : (Vraag gesteld in het Nederlands) | ||||||||
Ces derniers temps, la presse fait régulièrement état d'agressions sur les lesbigays. Il appert que le cadre légal dont dispose notre pays est solide et adéquat, mais que son application laisse souvent à désirer. Des problèmes spécifiques se posent lorsqu'une plainte est déposée auprès de la police locale par les lesbigays. Ceux-ci montrent encore beaucoup de réserve et de défiance envers les agents de la police locale. Sans se prononcer sur le fond, la crainte de ne pas être pris au sérieux voire d'être éconduit ou confronté à des plaisanteries déplacées représente un frein important à la dénonciation, entre autres, d'actes de violence. Je souhaiterais une réponse aux questions suivantes : 1) La ministre reconnaît-elle que de nombreux lesbigays éprouvent de la méfiance et de la suspicion à l'égard de la police locale, notamment lors du dépôt de plaintes pour agression ? 2) Les corps de police locale et fédérale ont-ils une politique spécifique en la matière ? Si oui, quels en sont les éléments concrets ? Si non, la ministre n'estime-t-elle pas prioritaire de définir une telle politique globalement, c'est-à-dire pour l'ensemble des corps ? 3) La ministre considère-t-elle comme une priorité d'investir dans la formation des agents de la police locale ? Des projets spécifiques d'une certaine ampleur ont-ils déjà été lancés ? La ministre veut-elle en faire une priorité ? 4) La ministre reconnaît-elle que, dans ce domaine, il importe de définir une politique en dialoguant et en coopérant véritablement avec les associations de lesbigays ? La ministre a-t-elle déjà pris des initiatives en ce sens ? Dans la négative, pour quand peut-on attendre une telle synergie ? |
Recent berichtten de media regelmatig over agressie ten opzichte van holebi's. Hieruit blijkt steeds dat ons land over een sterk en adequaat wettelijk kader beschikt, maar dat de toepassing ervan vaak te wensen overlaat. Er zijn specifieke problemen bij het neerleggen van een klacht door holebi's bij de lokale politie. Bij de holebi's leven nog grote terughoudendheid en argwaan tegenover lokale politieagenten. Ongeacht de gegrondheid daarvan, vormt deze angst om niet ernstig te worden genomen of zelfs met afwijzing of misplaatste humor te worden geconfronteerd, een hoge drempel om klachten over onder andere geweld te melden. Graag kreeg ik een antwoord op de volgende vragen: 1) Beaamt de minister het probleem dat vele holebi's argwaan en wantrouwen koesteren tegenover de lokale politie, onder andere bij het uiten van klachten over agressie tegen hen? 2) Beschikken federale en lokale politiekorpsen over een specifiek beleid hieromtrent? Zo ja, welke concrete elementen bevat deze specifieke aanpak? Zo neen, acht de minister het niet prioritair om zulk beleid globaal, dus voor alle korpsen, uit te stippelen? 3) Vindt de minister het noodzakelijk om in deze context prioritair te investeren in vorming van lokale politiebeambten? Bestaan er hieromtrent als specifieke projecten op een relevante schaal toegepast? Wil de minister hieromtrent een prioriteit stellen? 4) Beaamt de minister dat het in deze problematiek hoogst noodzakelijk is om een beleid uit te stippelen in hechte samenspraak en -werking met de Holebiverenigingen? Heeft de minister hieromtrent als stappen gezet? Zo ja, wanneer en met welke verenigingen? Zo niet, wanneer zal dergelijke synergie ontstaan? |
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| Réponse reçue le 4 février 2013 : | Antwoord ontvangen op 4 februari 2013 : | ||||||||
Question 1. Il y a un certain nombre d’infractions qui ne sont pas dénoncées par les victimes pour diverses raisons, comme par exemple la méfiance, le sentiment de honte ou la conviction qu’il n’y aura pas de suite ou de sanction. Je m’associe donc parfaitement à l’intention d’augmenter la politique de signalement et, à cet effet, il faut que nous investissions dans la communication, la prévention, la sensibilisation ainsi que dans la poursuite pénale. Je m’atèle – en collaboration avec mes collègues du gouvernement- à ce que toutes les mesures nécessaires et utiles soient prises pour soutenir par les voies policières et judiciaires ces victimes et assortir ces méfaits d’une suite idoine. Ce ne sera que de la sorte que nous pourrons obtenir une image plus exacte de la problématique et que l’on donnera par la même occasion un signal fort aux auteurs de méfaits à l’égard des Holebi. Questions 2-4. Le gouvernement mène actuellement des actions afin de combattre les violences contre les Holebis. Le premier ministre, la ministre de la Justice et moi-même avons décidé d’élaborer un Plan national de lutte contre l’homophobie et la transphobie (PAN), d’élaborer une directive commune « Justice-Intérieur » et d’alourdir les peines en cas de délit de haine. Il est important de rappeler certains événements et notamment le meurtre d’Ishan Jafri, un jeune homosexuel, tué à cause de sa préférence sexuelle. Ceci a donné lieu à une concertation avec le Premier ministre et la ministre de la Justice. Il a été décidé de rédiger un plan d’action national contre la violence à l’égard des LGBT (Lesbian, Gay, Bisexual, Transgender), où aussi bien les Régions, les Communautés que le niveau Fédéral vont collaborer ensemble afin de lutter contre l’homophobie et la transphobie. Ce plan, auquel seront étroitement associées les entités fédérées, poursuivra les six objectifs suivants : une bonne concertation des différentes instances concernées qui doit mener à un renforcement de l’efficience et de la cohérence des actions ; la continuité des actions existantes et l’extension des projets pilotes sur l’ensemble du territoire ; le développement des méthodologies et instruments de travail pour les professionnels en charge de cette problématique tout comme le renforcement de l’échange d’informations entre eux ainsi que leur formation de base et continue ; la prévention de l’homophobie et de la transphobie par la sensibilisation et l’information du grand public ; la répression du crime de haine et du discours haineux. L’élaboration d’une cartographie du problème en se basant sur les analyses existantes. Il est prévu que ce PAN, élaboré avec l’ensemble des acteurs concernés, fasse l’objet d’une Conférence interministérielle au plus tard pour la fin du mois de novembre de cette année, afin de donner un signal fort dans la lutte contre l’homophobie. Sur mon initiative, comme ministre de l’Égalité des chances et de l’Intérieur, une directive commune avec la ministre de la Justice et le collège des procureurs généraux sera rédigée en matière de discrimination à l’intention des services de police et des parquets pour toute forme de discrimination, ce qui constitue une mesure clé. Elle pourrait reprendre les objectifs d’une politique criminelle en matière de lutte contre les discriminations, les définitions des différentes formes de discriminations et de violences, les rôles et les missions des magistrats et des policiers de référence, la création d’un plan d’action par arrondissement, les règles pour le traitement des situations discriminatoires et les formations à mettre en place. Cette directive tendra donc vers une bonne collaboration entre la police et la justice et un bon suivi des plaintes de discrimination. Tous les critères des lois antidiscrimination de 2007 seront pris en compte contrairement aux circulaires actuelles. Nous procédons à l’examen des possibilités d’alourdir les peines en cas de délit de haine. Dans ce cadre, la ministre de la Justice travaille actuellement à une proposition. [1] En avril de cette année, la plate-forme homophobie-transphobie a été lancée au sein de mon cabinet. À cet effet, ont été invités des membres du personnel de tous les services directement concernés de la police ainsi que de la société civile, avec, en particulier, l’ASBL Rainbow Cops, l’association des policiers homosexuels. L’objectif est de se pencher ensemble sur la façon dont la police peut être une organisation où les LGBT se sentent bien « chez eux ». La plate-forme homophobie-transphobie se concertera sur base mensuelle au sujet des thèmes suivants : la politique en matière de diversité, les formations, la sélection et le recrutement, le lien avec la justice, le rôle des sanctions administratives et, last but not least, le rôle des agents de référence. J’ai, en effet, décidé de désigner des agents de référence dans la lutte contre la discrimination. Cela a pour conséquence que des agents de police seront chargés du suivi des délits discriminatoires dans la police à l’instar des magistrats de référence. Le Centre pour l’Égalité des Chances et la Lutte contre le Racisme a conclu depuis quelques années une convention annuelle avec la Police fédérale, visant à créer une synergie en matière de formations à la diversité. Dès 2011, ce contrat à durée déterminée a été transposé en contrat à durée indéterminée. En 2011, 48 groupes et, plus précisément, 561 membres du personnel de la police intégrée, ont suivi une des formations offertes par le Centre. Le Centre a développé 7 formations différentes, tant pour l’école de Police fédérale que pour l’école nationale des officiers, parmi lesquelles une formation « législation antiracisme et antidiscrimination », « diversité et préférence sexuelles », « communication interculturelle », etc. Un nombre plus important de membres du personnel devrait être stimulé pour suivre ces formations et le module dans la formation de base devrait être optimalisé. Il existe en effet de grosses différences d’une école de police à l’autre. C’est pourquoi une concertation est organisée entre les professeurs de ce module des différentes écoles et le Centre afin de tendre vers un contenu des cours qui soit qualitatif et uniforme. Le Centre pour l’Égalité des Chances est aussi en train d’élaborer un PV standardisé que les agents de police pourront utiliser lorsqu’ils sont confrontés à une victime de discrimination. Nous travaillons au renforcement du service diversité-égalité de la Police fédérale afin de mettre en place une politique de diversité forte au sein de la police intégrée. Je soutiens le réseau de lutte contre l’homophobie et l’ASBL Rainbow Cops et je les implique quand des choix importants doivent être opérés. À la rentrée, une brochure sera rédigée en collaboration avec les fédérations coupoles des LGBT qui sera diffusée dans les administrations fédérales, donc également dans les services de l’intérieur. La brochure « Annoncer son homosexualité permet de mieux la vivre sur tous les plans’ » offrira des outils afin de faire face aux personnes ayant une orientation sexuelle différente. Le Gouvernement mène donc actuellement des actions multiples afin de lutter contre tout type de discrimination par le biais d’une politique de diversité réussie et réalisée dans la concertation et le dialogue mais aussi dans la répression. [1] Le conseil des ministres a déjà approuvé en juillet de cette année un avant-projet de loi doublant les peines maximales pour la violence homophobe et discriminatoire. Il devrait être discuté au parlement cet automne. À vérifier quand il se trouvera à l'agenda de la commission justice. |
Vraag 1. Er zijn een aantal inbreuken die door de slachtoffers niet worden aangeklaagd, en dit om verscheidene redenen, zoals bijvoorbeeld wantrouwen, schaamte of de overtuiging dat er geen gevolg of sanctie zal optreden. Ik sluit mij dus volledig aan bij de intentie om de aangiftebereidheid te verhogen en we moeten daarvoor investeren in communicatie, preventie, sensibilisering en in strafrechtelijk vervolging. Ik zal ervoor zorgen dat - in samenwerking met mijn collega’s van de regering - de nodige en nuttige maatregelen worden genomen om politioneel en justitieel deze slachtoffers maximaal te ondersteunen en het passende gevolg te geven aan deze wandaden. Enkel op die manier kunnen we een juister beeld krijgen van de problematiek en wordt tegelijkertijd een signaal gegeven naar daders dat we passend optreden en reageren bij elk feit gepleegd tegen holebi’s. Vragen 2-4. De regering neemt maatregelen ter bestrijding van holebi-geweld. De eerste minister, de minister van Justitie en ikzelf hebben beslist om een nationaal actieplan voor de strijd tegen homofobie en transfobie (NAP) op te stellen, een gemeenschappelijke richtlijn “Justitie – Binnenlandse zaken” uit te werken en de straffen te verzwaren in geval van haatdelicten. Het is belangrijk even terug te blikken op een aantal gebeurtenissen en in het bijzonder de moord op Ishan Jafri, een jonge homoseksueel, die gedood werd omwille van zijn seksuele geaardheid. Dit heeft aanleiding gegeven tot een overleg met de premier en de minister van Justitie: er werd beslist om een nationaal actieplan tegen geweld tegen LGBT’s (Lesbian, Gay, Bisexual, Transgenders) op te stellen waarbij zowel de gewesten, de gemeenschappen als het federale niveau samen zullen werken om de strijd aan te gaan tegen homofobie en transfobie. Dit plan, dat eind deze maand nog wordt voorgesteld, bevat 6 prioriteiten: preventie, beleid en wetgeving, verruimen van kennis en inzicht, sensibilisatie, bescherming en slachtofferzorg, politionele en gerechtelijke aanpak en het actief opsporen en voorkomen van het geweld. Het uitwerken van een dergelijk Belgisch actieplan beoogt dus een concrete informatie-uitwisseling en samenwerking met alle betrokken partijen, alsook de gemeenschappen en gewesten. Via het opzetten van dit actieplan kunnen alle acties gecoördineerd worden. In een tweede fase, zal dit actieplan uitgebreid worden met een breed luik antidiscriminatiemaatregelen. Daarnaast zal een inventaris toegevoegd worden van de reeds bestaande acties, zodat men goede praktijken kan uitwisselen via de interfederale coördinatiegroep homo- en transfobie, die naar aanleiding van het nationaal actieplan zal opgericht worden. Op mijn initiatief als minister van Gelijke Kansen en Binnenlandse Zaken, werkt het college van procureurs-generaal momenteel een gemeenschappelijke omzendbrief uit, van de ministers van Justitie en mezelf, inzake discriminatie ter bestemming van de politiediensten en parketten voor elke vorm van discriminatie, hetgeen een sleutelmaatregel vormt. Deze omzendbrief zal streven naar een goede samenwerking tussen politie en justitie en naar een goede opvolging van discriminerende klachten en haatdelicten. Alle criteria van de antidiscriminatiewetten van 2007 (racisme, discriminatie, genderdiscriminatie) zullen hier in rekening gebracht worden. In het voorstel van omzendbrief wordt er een bepaling opgenomen met betrekking tot referentieambtenaren bij de politie, naar analogie met de referentieambtenaren rond partnergeweld. Gezien de goede resultaten van de omzendbrief rond partnergeweld, lijkt het mij dan ook aangewezen referentieambtenaren aan te stellen voor de opvolging van racisme- en discriminatiezaken. Eind 2012 werd er in de kamer, na goedkeuring in de Ministerraad in juli 2012, een wetsontwerp goedgekeurd, met betrekking tot strafverzwaring wanneer er sprake is van een haatdelict. We spreken van een haatdelict wanneer het motief ingegeven is door één van de criteria die opgenomen is in de antidiscriminatiewetgeving van 10 mei 2007 met name: het zogenaamde ras, de huidskleur, de afkomst, de nationale of etnische afstamming, de nationaliteit, het geslacht, de seksuele geaardheid, de burgerlijke staat, de geboorte, de leeftijd, het vermogen, het geloof of de levensbeschouwing, de huidige of toekomstige gezondheidstoestand, een handicap, de taal, de politiek of syndicale overtuiging, een fysieke of genetische eigenschap of de sociale afkomst. In april 2012 ging het platform homofobie-transfobie van start binnen mijn kabinet. Hiervoor werden er personeelsleden uitgenodigd van alle relevante diensten van de politie, evenals het middenveld met in het bijzonder de VZW Rainbow Cops, vereniging van homoseksuele politieagenten. Doel is samen na te denken over hoe we van de politie een organisatie kunnen maken, waar ook holebi’s en transgenders zich thuis voelen. Het platform homofobie-transfobie is reeds 8 keer bijeen gekomen en heeft zich gebogen over volgende thema’s: het diversiteitsbeleid, de opleidingen, selectie en aanwerving, de link met justitie, de rol van administratieve sancties en niet in het minst over de rol van de referentieagenten. Het Centrum voor Gelijkheid van Kansen en Racismebestrijding sluit sinds enkele jaren jaarlijks een conventie af met de federale politie, waardoor een samenwerkingsverband bestaat inzake de diversiteitsopleidingen. Ook dit jaar zal er een nieuwe samenwerking met het Centrum worden afgesloten. In 2011 volgden 48 groepen, meer bepaald 561 personeelsleden van de geïntegreerde politie één van de vormingen aangeboden door het Centrum. Het Centrum ontwikkelde 7 verschillende opleidingen voor zowel de federale politieschool als de nationale officierenschool, waaronder een vorming ‘anti-racismewetgeving en anti-discriminatiewetgeving’, ‘diversiteit en seksuele geaardheid’, ‘interculturele communicatie’, enz. Meer personeelsleden moeten gestimuleerd worden om deze opleidingen te volgen en de module in de basisopleiding moet worden geoptimaliseerd. Er bestaan immers grote verschillen tussen de verschillende politiescholen onderling. Daarom wordt er overleg georganiseerd tussen de lesgevers van deze module van de verschillende scholen en het Centrum om te streven naar een kwalitatieve en uniforme lesinhoud. Het Centrum voor Gelijkheid van Kansen is ook een standaard PV aan het uitwerken die de politiemensen kunnen gebruiken, wanneer ze geconfronteerd worden met een slachtoffer van discriminatie. De dienst Diversiteit en Gelijke Kansen van de Federale Politie werd uitgebreid om een krachtig diversiteitsbeleid uit te werken binnen de geïntegreerde politie. Ik verleen volop mijn steun aan het netwerk voor de strijd tegen homofobie en de VZW Rainbow Cops en betrek hen bij het maken van belangrijke keuzes. Dit jaar zal er ook een brochure opgesteld worden, in samenwerking met de LGBT-koepelfederaties, die in de federale administraties zal verspreid worden, dus ook in de diensten van binnenlandse zaken. De brochure ‘Uit de kast werkt beter’ zal handvatten aanreiken om beter om te gaan met mensen met een andere seksuele geaardheid. De Regering onderneemt dus momenteel verscheidene acties om elke discriminatievorm te bestrijden via een geslaagd diversiteitsbeleid en dit zowel in overleg en dialoog, alsook via repressie. |