Secteur spatial - Missions spatiales européennes - Investissements belges - Montants - Critères de sélection - Entreprises bénéficiaires - Secteurs devenus non prioritaires - Agence spatiale européenne - Budget - Peuropéenne - Budget - Participation belge
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observation de la Terre
18/1/2018 | Envoi question (Fin du délai de réponse: 22/2/2018) |
3/12/2018 | Rappel |
9/12/2018 | Dossier clôturé |
Réintroduite comme : question écrite 6-2251
Dans son rapport d'activité pour l'année 2016, Belgospace, l'association belge interprofessionnelle des activités spatiales qui regroupe la plupart des entreprises belges actives dans le domaine des technologies spatiales et des membres d'Agoria, souligne que : « Les positions prises par la Belgique au cours de cette période ministérielle ont confirmé sa stratégie d'investir dans les petites missions satellitaires d'observation de la terre (avec les missions Altius et Vegetation) et dans les programmes technologiques (GSTP, PRODEX, ARTES, FLPP) pour maintenir et développer le niveau de compétences de nos acteurs. » Toujours selon ce rapport, cette décision a conduit la Belgique à investir des montants importants dans des missions qui ne verront le jour que dans plusieurs années. Belgospace craint donc que cette décision ait été prise « au détriment d'autres secteurs, qui pourraient alors souffrir de sous financement, avec des conséquences importantes notamment en terme de participation à d'autres missions ».
ensemble de ces questions relève de la compétence du Sénat dans la mesure où elles concernent une matière fédérale qui a une influence sur les compétences des entités fédérées en matière d'économie, d'emploi, etc.
Confirmez-vous cette analyse ? Quels sont les montants investis dans les missions ci-mentionnées ? Quels ont été les critères de sélection de ces missions ? Quelles sont les entreprises qui ont bénéficié de ces programmes ? Qu'en est-il de secteurs où notre pays se montre particulièrement performant, comme les lanceurs, et qui ont, de facto, quelque peu été relégués assez loin dans la liste de nos priorités lors de la conférence ministérielle de Lucerne ?
Enfin, confirmez-vous le maintien du budget fédéral belge alloué au secteur spatial et à l'Agence spatiale européenne (European Space Agency – ESA) pour l'année 2018 ?