Bijouteries - Sécurisation - Scanographie du visage - Banque de données des criminels - Législation sur la protection de la vie privée
bijouterie orfèvrerie
scanner
données personnelles
biométrie
Banque de données nationale générale (Police)
protection de la vie privée
vol
lutte contre le crime
21/11/2011 | Envoi question |
7/12/2011 | Dossier clôturé |
Réintroduite comme : question écrite 5-5009
Un projet pilote de scanographie du visage dans les bijouteries est en cours à Rotterdam. Cette technique permet de comparer le visage du client avec les caractéristiques des criminels enregistrés dans la banque de données de la police. Si ces caractéristiques correspondent, la porte reste fermée. Le projet sert notamment à contrôler si la scanographie fonctionne correctement et si elle respecte les critères de la législation sur la protection de la vie privée et/ou les règles relatives aux personnes ayant purgé leur peine. L'administration communale, la police et le secteur de la bijouterie veulent ainsi enrayer la multiplication des braquages.
Voici mes questions à la ministre :
1) Quel jugement porte-t-elle sur l'utilisation de la scanographie du visage ?
2) Si la scanographie fonctionne correctement et que son utilisation est en conformité avec la législation sur la protection de la vie privée et/ou les règles relatives aux personnes ayant purgé leur peine, la ministre est-elle prête à appliquer les résultats de cette expérience au marché belge ? Dans l'affirmative, peut-elle détailler sa réponse ? Dans la négative, pourquoi et quelles alternatives propose-t-elle ?