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Question écrite n° 5-2447

de Bert Anciaux (sp.a) du 31 mai 2011

à la vice-première ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, chargée de l'Intégration sociale

Personnes souffrant de maladies mentales persistantes - Soins - Concertation avec les communautés

Centre fédéral d'expertise des soins de santé
maladie mentale
soins de santé
coopération institutionnelle
psychiatrie
hospitalisation
soins de longue durée

Chronologie

31/5/2011Envoi question
7/12/2011Dossier clôturé

Réintroduite comme : question écrite 5-4533

Question n° 5-2447 du 31 mai 2011 : (Question posée en néerlandais)

Dans son rapport annuel 2010, le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE) a abordé la question des soins aux personnes souffrant de maladies mentales persistantes. Une concertation à cet égard entre les niveaux fédéral et régional est particulièrement nécessaire. Actuellement, les communautés interviennent pour beaucoup de services, comme l'accueil de jour et diverses formes de logement pour les personnes nécessitant des soins de longue durée. Pour les personnes atteintes de maladies mentales graves, le financement est effectué par l'Institut national d'assurance maladie-invalidité (INAMI). L'offre actuelle semble être beaucoup moins variée que pour les personnes souffrant de limitation. Pour les personnes atteintes de maladies mentales, l'offre des communautés se limite aux centres de santé mentale. Les ministres concernés aux niveaux fédéral et communautaire ont récemment progressé dans la voie d'une extension des soins et de la collaboration pour les soins de santé mentale par le biais de « l'Article 107 ».

Voici mes questions :

1) Comment la concertation en matière de soins aux malades souffrant de maladies mentales persistantes se déroule-t-elle entre les niveaux fédéral et communautaire ? Quelles mesures concrètes ont-elles déjà été prises à ce sujet et quels sont les effets visés et atteints ?

2) Quels sont les principaux défis et difficultés pour améliorer ces soins à court terme ?

3) Y a-t-il une différence dans la collaboration entre les différentes communautés ?