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Question écrite n° 4-5138

de Céline Fremault (cdH) du 1 décembre 2009

au vice-premier ministre et ministre des Finances et des Réformes institutionnelles

Contrats constitutifs de droits de superficie ou d'emphytéose - Droits d'enregistrement - Montants - Nombre - Répartition

droit d'enregistrement
bail
statistique officielle
répartition géographique

Chronologie

1/12/2009Envoi question (Fin du délai de réponse: 1/1/2010)
6/5/2010Fin de la législature

Réintroduite comme : question écrite 4-5212

Question n° 4-5138 du 1 décembre 2009 : (Question posée en français)

Si la majorité des recettes liées aux droits d’enregistrement sont attribuées aux régions, une partie de celles-ci reviennent néanmoins à l’État fédéral. Tel est le cas en ce qui concerne les droits de bail. Or, le Code des droits d’enregistrement assimile les contrats constitutifs de droit de superficie et d’emphytéose à des baux. Il en va de même pour les cessions de pareils droits.

En conséquence, j’aurais voulu savoir quelles étaient, pour les cinq dernières années, sur base d’une ventilation régionale et en distinguant les hypothèses relatives aux contrats constitutifs de droit de superficie de celles relatives aux contrats constitutifs de droit d’emphytéose :

1.le montant total des droits perçus ;

2.le nombre de contrats enregistrés ;

3.le montant moyen des droits perçus par rapport à l’ensemble des contrats enregistrés ;

4.le montant médian des droits perçus par rapport à l’ensemble des contrats enregistrés ;

5.le montant total de la base imposable de l’ensemble des contrats enregistrés ;

6.le montant moyen de la base imposable par rapport à l’ensemble des contrats enregistrés ;

7.le montant médian de la base imposable par rapport à l’ensemble des contrats enregistrés ;

8.le nombre de contrats dont les signataires sont des personnes physiques ;

9.le nombre de contrats dont les signataires sont des personnes morales.