Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) et Infrabel - Vandalisme - Nombre d'incidents - Coût
Société nationale des chemins de fer belges
vandalisme
29/3/2011 | Envoi question |
7/12/2011 | Dossier clôturé |
Réintroduite comme : question écrite 5-4726
La Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) et Infrabel imputent souvent les nombreux retards et suppressions de trains à des actes de vandalisme.
Je souhaiterais obtenir une réponse aux questions suivantes.
1) Combien d'actes de vandalisme sur le réseau ferroviaire a-t-on enregistrés (chaque année) au cours de la période 2006-2010 ? Comment la ministre explique-t-elle ces chiffres et évolutions ? Quelles conclusions peut-on en tirer ? Celles-ci ont-elles donné lieu à une adaptation de la politique à cet égard ? Ces chiffres sont-ils comparables à ceux des pays voisins ?
2) Quels types de vandalisme (graffiti, déprédations, etc.) a-t-on observés durant la période 2006-2010 ? La ministre perçoit-elle une évolution dans la proportion de certains types de vandalisme au cours de cette période ? Comment explique-t-elle ces chiffres et évolutions ?
3) Existe-t-il des différences significatives entre les gares et les lignes ferroviaires en ce qui concerne les actes de vandalisme ? Quelles sont les lignes et gares qui sortent du lot ? Comment la ministre explique-t-elle ces différences ?
4) Quel a été, pour la SNCB et Infrabel, le coût annuel des réparations des déprédations causées par des vandales durant la période 2006-2010 ? Comment la ministre évalue-t-elle et explique-t-elle ces chiffres et leur évolution ?
5) Quel est le nombre annuel de vandales interpellés dans la période 2006-2010 ? Au cours de cette période, combien de personnes ont-elles été condamnées pour vandalisme contre le réseau et le matériel ferroviaires ? Quelle partie des coûts la SNCB et Infrabel ont-elles récupérée auprès de ces auteurs ?