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Question écrite n° 5-10148

de Nele Lijnen (Open Vld) du 18 octobre 2013

à la vice-première ministre et ministre de l'Intérieur et de l'Égalité des Chances

Sécurisation de téléphone - Empreintes digitales - Risques - Cybercriminels - Vie privée

protection des communications
téléphone
criminalité informatique
biométrie
service secret
téléphone mobile
communication mobile

Chronologie

18/10/2013Envoi question
18/11/2013Réponse

Question n° 5-10148 du 18 octobre 2013 : (Question posée en néerlandais)

Sécuriser un téléphone par le biais des empreintes digitales semble devenir une nouvelle tendance. Pourtant, les experts attirent l'attention sur le fait que ce système n'est certainement pas (encore) sûr et que des personnes intéressées par certaines données peuvent s'introduire dans un gsm relativement simplement. . Il ressort d'un débat mené à ce sujet aux États-Unis que les entreprises actives dans l'industrie des télécommunications pourraient également transmettre ce type de données aux autorités.

Je souhaiterais obtenir une réponse aux questions suivantes :

1) La ministre considère-t-elle possible que des cybercriminels utilisent le procédé décrit dans l'introduction ? Je souhaiterais obtenir des précisions.

2) Cette nouvelle lui paraît-elle grave sur le plan de la vie privée, compte tenu des infractions susceptibles d'être commises par les criminels et les services de renseignement étrangers ? Pourquoi/pourquoi pas ? La ministre peut-elle fournir des précisions ?

3) La ministre juge-t-elle possible que par le biais de cette technique, des utilisateurs belges de téléphone transmettent des informations à des services de renseignement étrangers ?

Réponse reçue le 18 novembre 2013 :

J'attire l'attention de l'honorable membre sur le fait que la problématique évoquée relève des compétences de ma collègue, la ministre de la Justice.