Version à imprimer bilingue Version à imprimer unilingue

Question écrite n° 4-6058

de Dirk Claes (CD&V) du 7 décembre 2009

à la ministre de l'Intérieur

Appels d'urgence - In case of emergency (ICE) - Expérience - Sensibilisation

premiers secours
téléphone
téléphone mobile
communication mobile

Chronologie

7/12/2009Envoi question (Fin du délai de réponse: 8/1/2010)
2/2/2010Réponse

Réintroduction de : question écrite 4-5088

Question n° 4-6058 du 7 décembre 2009 : (Question posée en néerlandais)

En cas d'accident, il est d'usage que les secours tentent d'informer les proches parents de la victime. Il arrive cependant régulièrement que les collaborateurs des services de secours ne sachent pas quelle personne contacter.

Plusieurs voix dans le secteur de l'assistance insistent pour qu'une campagne de sensibilisation fasse mieux connaître l'application du principe ICE (in case of emergency). Ce nom standard encodé sur le GSM correspondrait à la (aux) personne(s) à contacter. L'abréviation serait déjà connue sur le plan international mais dans notre pays, elle n'est pas encore très répandue. Pourtant, elle pourrait à mon avis constituer une bonne solution pour des problèmes existants

1. La ministre est-elle au courant des problèmes qui se posent lorsqu'il faut contacter la famille en cas d'accident grave ?

2. Connaît-elle le principe ICE ?

3. Considère-t-elle comme une bonne proposition le fait de développer ce principe dans notre pays et de le promouvoir auprès de la population?

4. Est-elle prête à prendre des initiatives concrètes à cette fin dans un proche avenir ?

Réponse reçue le 2 février 2010 :

  1. Dans le cas d’un incident grave, l’on réussit généralement à prendre contact avec la famille ou les proches de la victime. Néanmoins, cela ne peut pas toujours se faire aussi vite.

  2. La programmation dans un gsm d’un ou de plusieurs numéros de téléphone sous personne de contact In case of emmergency (ICE) m’est bien connue.

  3. Il s’agit certainement d’une bonne proposition, mais il existe évidemment des solutions moins technologiques (qui sont plus solides) comme des cartes indiquant les numéros de téléphone des personnes à contacter que l’on porte à proximité de sa carte d’identité.

  4. Des initiatives ayant déjà été prises par le passé par des organisations privées telles que « Organisations caritatives » et « Vrijwilligersjobs », mon département n’a pas développé d’actions dans ce sens. Je vais maintenant faire examiner s’il convient encore de prendre certaines initiatives dans le cadre de futures campagnes d’informations.